Laisser un commentaire

Stephan Blackburn

Stephan

Stephan Blackburn est professeur de philosophie. Après une première carrière d’enseignant s’étendant de 1992 à 2001, il change volontairement de vie en devenant chauffeur de véhicules lourds et opérateur de machinerie lourde, ce qui lui a permis de voyager partout en Amérique du Nord. En 2011 il réalise un vieux rêve en allant travailler à la Baie James, dans le Nord du Québec, où il s’est intégré aux sociétés autochtones, notamment auprès de la Nation crie. En 2013, alors même qu’on le demande pour les légendaires « routes de glace », il choisit de retourner à l’enseignement de la philo, en se spécialisant en sciences des religions.

Musique :
Stephan a enseigné le violon pendant plus de 25 ans. Bien qu’ayant l’oreille absolue, il n’a jamais compris le solfège, qu’il arrivait pourtant à expliquer, de mémoire, à ses élèves (dont plusieurs ont été admis au Conservatoire). Sans pouvoir lire une partition, mais enregistrant toute musique en ne l’entendant qu’une fois, il ne laissait rien voir de ses difficultés.
Il est l’auteur d’un CD musical favorisant le sommeil, utilisant des techniques tout à fait originales.

Écriture :
Stephan est l’auteur d’un techno-thriller : Concerto pour une vie éternelle (1999), et de l’essai Dieu merci ! Les autistes sont là ! (2009), (toujours disponibles en version numérique). Publiés à compte d’auteur, les deux titres ont néanmoins connu une diffusion appréciable.
Il rédige régulièrement des chroniques pour la revue MAG2000.

Projets d’écriture :
Une refonte revue, augmentée et mise à jour de Dieu merci ! Les autistes sont là ! est en chantier. Un second thriller s’annonce, car il est déjà sur papier : L’homme qui ne dormait pas. Enfin, un roman mettant l’autisme à l’honneur a reçu ses premiers coups de crayon.

Activités ludiques :
Quand il ne lit ou n’écrit pas, Stephan invente des jeux de table, auxquels il ne reste parfois qu’à trouver des éditeurs intéressés. « Émulation ! » et « Drapeau vert » sont particulièrement appréciés. En complicité avec ses fils, tous deux autistes, Stephan joue aussi beaucoup… à des jeux vidéo. Il touche d’ailleurs beaucoup à l’hexadécimale et à tout ce qui permet de modifier ou même recréer des jeux populaires.

 

Laisser un commentaire

Pour oublier votre commentaire, ouvrez une session par l’un des moyens suivants :

Logo WordPress.com

Vous commentez à l’aide de votre compte WordPress.com. Déconnexion / Changer )

Image Twitter

Vous commentez à l’aide de votre compte Twitter. Déconnexion / Changer )

Photo Facebook

Vous commentez à l’aide de votre compte Facebook. Déconnexion / Changer )

Photo Google+

Vous commentez à l’aide de votre compte Google+. Déconnexion / Changer )

Connexion à %s